16 juin 2008
En connais-tu la route, et le prix que ça coute d'aimer à en perdre raison ?
C'est étrange, ces rêves qui tournent au cauchemar, chaque nuit, chaque réveil encore pire. A être soulagée d'être en vie, de ne plus se sentir condamnée.
Et puis, les heures passent, et l'oppression n'est plus un rêve.
J'ai des trucs à faire.
Et pourtant je préférerais rester là, à fixer cet écran, sans but, à espérer.
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